Retrouvez ici un Compte rendu, des Photos et Vidéos de cette journée.
La 5ème édition de la Journée Mondiale de la LMC (JM LMC) a été un immense succès ! LMC France a atteint ses objectifs : sensibiliser et informer le public en France et dans le monde
sur cette forme rare de leucémie.
Le 26 Septembre 2015, LMC France a organisé la 2ème Conférence de la LMC qui a rassemblé des patients et proches de patients venus de toute la France (Marseille, Lyon, Grenoble, Strasbourg,
Paris, Nantes ... et parfois même de beaucoup plus loin encore : Belgique, Allemagne, Suisse, USA et Canada !!!
Dans le cadre de la cinquième Journée Mondiale de la Leucémie Myéloïde Chronique (JM LMC), l'association de patients LMC France organise une grande conférence autour de la leucémie myéloïde chronique au sein de l'Institut Paoli Calmettes (entrée par l'IPC 2, 15 Bd Leï Roure) à Marseille, le 26 Septembre 2015, de 9 H à 16 H.
A cette occasion, patients, proches de patients et médecins experts de la LMC échangeront sur de nombreux sujets concernant les patients, les traitements, les effets indésirables, l'observance, les nouvelles thérapies, l'avenir ...
Seront présents d'éminents spécialistes de la leucémie myéloïde chronique qui viendront de toute la France, comme les Professeurs François Xavier Mahon (Président du FiLMC, Bordeaux), les Docteurs Aude Charbonnier (Présidente du Conseil Scientifique LMC France, Marseille), Delphine Réa (Paris)...
Cliquez sur les images pour agrandir !
Introduction
Mme Mina Daban (présidente de LMC France) a rappelé que l’association LMC France fête ses 5 ans d’existence et a ouvert la 2ème conférence mondiale sur la LMC.
Le Pr. Dominique Maraninchi, (Professeur de cancérologie, IPC, Marseille) a tenu à rappeler qu’il était important de souvenir les associations de malades et de développer la
démocratie médicale.
Il a souligné l’importance de l’auto déclaration par les patients des effets indésirables et la mise en place d’un programme innovant au sein de l’IPC autour de cette thématique.
M. Dominique Nobile (délégué régional INSERM) a souligné l’importance d’établir un partenariat avec les associations de malades et a rappelé les actions misent en place par
l’INSERM afin de promouvoir le dialogue et de favoriser les échanges.
1ère partie
Mme Mina Daban en tant que « Grand Témoin » a résumé les étapes de sa maladie et les difficultés rencontrées qui l’on conduit à la création de LMC France et à la mise en place du
conseil scientifique de l’association. Elle a rappelé les principales actions de l’association : mise à la disposition de tous d’informations et de vidéos fiables et datées, mise en place de
forums sécurisés, création de la journée mondiale de la LMC, recherche de soutien médiatique, soutien à la recherche, création d’une mallette d’observance, de fiches patients, de LMCoach et
organisation des 1ers états généraux de la LMC. Cette dernière action a conduit à la création du livre blanc qui a été présenté aux autorités de santé et a reçu de multiples récompenses. Deux
propositions phares du livre blanc sont en discussion avec l’INCa (la mise en place d’un observatoire et de centres experts).
Récemment deux livres ont été édités: un conte pour enfants pour « parler » simplement de la maladie en famille et un livre de recettes culinaires pour prévenir la fatigue liée aux
traitements.
Enfin, Mme Daban a rappelé que la LMC est devenue une maladie chronique avec une difficulté majeure qui est l’observance des traitements.
Le Dr. Aude Charbonnier (Onco-hématologie, IPC Marseille) a centré son exposé sur l’observance et la qualité de vie mais a aussi évoqué les thèmes des «cellules souches de la
LMC» et «l’arrêt des traitements» que les Prs Ali Turhan et Francois Xavier Mahon n’ont pas pu traiter au cours de cette journée.
Aude Charbonnier a rappelé que la protéine chimérique BCR-ABL (résultant de la translocation entre les gènes BCR et ABL) est une enzyme qui fonctionne trop vite au cours de la LMC et que les
médicaments de type « ITK » cherchent à bloquer l’activité de cette enzyme. Le traitement de cette pathologie, qui sert d’exemple à d’autres pathologies, est révolutionnaire car il cible les
mécanismes conduisant à la maladie et non au type de maladie. Ces médicaments sont si efficaces que la LMC est devenue une maladie chronique.
Les nouveaux objectifs sont liés à l’évaluation de la réponse (suivie au long cours), la diminution de la toxicité et l’évaluation de la réponse «profonde» qui permettra l’arrêt des traitements.
Les nouvelles problématiques concernent l’observance (1/3 d’échec), la maitrise du coût, l’organisation du parcours de soins et l’amélioration de la qualité de vie.
Le Dr Charbonnier a résumé les différentes molécules qui ont été utilisées dans le temps et qui vont d’un traitement palliatif à un traitement curatif (hydroxyurée, allogreffe, IFN, Imatinib (1998), Dasatinib (2006-2010), Nilotinib (2007-2010), Bosutinib (2013) et Ponatinib (2013). Elle a aussi rappelé que l’Imatinib et le Nilotinib sont des molécules de première ligne et que le Dasatinib, Bosutinid, Ponatinib sont de 2ème ligne.
L’Interféron, l’Omacétaxine, l’allogreffe et les molécules ciblant les cellules souches de la LMC sont aussi utilisés. De nouveaux médicaments sont maintenant nécessaires pour traiter l’absence
de réponse aux traitements (15% des malades), éviter la perte de réponse primaire, permettre l’arrêt des traitements et avoir des alternatives en cas d’intolérance (35% des malades).
La réponse « idéale » est représentée par la courbe ci-dessus.
Il existe de nombreux essais thérapeutiques, dont le STIM (STop IMatinib) réalisé en France, qui évaluent l’arrêt des traitements si la réponse est profonde et durable dans le temps.
Les nouveaux médicaments cherchent à cibler la cellule souche de la LMC pour améliorer la réponse au traitement, majorer le nombre de candidat à l’arrêt et maintenir la réponse après l’arrêt des
traitements. Ces nouveaux médicaments exploitent les propriétés biologiques de la cellule cancéreuse, ciblent son micro environnement (niche) dans la moelle osseuse ou exploitent la sensibilité
de la cellule maligne vis à vis du système immunitaire.
La fréquence d’absence d’observance aux traitements s’élève en moyenne à 30%. Un oubli de prise médicamenteuse de 2 à 3 fois par mois suffit à rompre l’observance. Les facteurs déclenchant la non-observance sont surtout les effets secondaires des traitements ou l’oubli de prise. La non-observance peut être intentionnelle (27% des cas) ou non-intentionnelle (73%).
Les facteurs de risque de la non-observance sont : les âges extrêmes, le sexe (féminin), la solitude, l’absence de pharmacie proche, l’incompatibilité avec la vie sociale, le faible niveau d’information, la durée très longue des traitements, les effets secondaires (fatigue, diarrhées, nausées, douleurs).
Les facteurs qui améliorent l’observance sont la durée de la consultation d’annonce, l’information délivrée sur la maladie, le nombre de patients LMC suivis par le médecin, le suivi en hôpital universitaire et la co-médication.
Les actions menées pour améliorer l’observance sont : la coopération patient-soignant, la prise en charge spécialisée (temps passé avec le malade et la confiance du patient envers le soignant),
l’évaluation de l’observance, l’implication du patient, l’utilisation du service e-santé LMCoach et la prise
en compte des effets secondaires.
Les effets secondaires (intolérance) peuvent être :
- initiaux et majeurs ; ils nécessitent alors l’arrêt ou la diminution du traitement.
- initiaux ou tardifs, souvent mineurs et persistants ; ils sont liés aux effets des ITK sur d’autres cibles intracellulaires que la protéine BCR-ABL. Ils affectent la qualité de vie et
l’observance.
Suite à cet exposé la relevance de molécules traitant du diabète en complément des ITK a été posée. Le Dr Charbonnier a clairement indiqué que la molécule « Actos » ne peut être actuellement
utilisée car elle donne des cancers de la vessie après une longue utilisation. Par contre, cette molécule anti-diabétique semble bloquer la cellule souche leucémique et cette découverte ouvre
donc la voie à de nouvelles recherches de médicament.
2ème partie
Le Dr. Delphine Réa (Hématologue, Hôpital Saint Louis, Paris) a présenté les résultats obtenus par son équipe et financés par LMC France. Ils portent sur l’étude des cellules NK
(Natural Killer) du système immunitaire après l’arrêt du traitement par Imatinib Mesylate.
Le Dr. Réa a tout d’abord rappelé les grands principes de prise en charge de la LMC :
- ITK de 1ère ligne, si efficacité et tolérance : poursuite du traitement
- ITK de 1ère ligne, si échec et toxicité inacceptable : changement d’ITK et poursuite du traitement
Pour améliorer l’efficacité des traitements, il est important d’analyser la biologie de la cellule leucémique et en particulier de la cellule souche leucémique et de comprendre les différentes
voies qui conduisent à la survie et à la croissance de cette cellule : niche hématopoïétique, mécanismes de survie, d’autophagie (auto-destruction cellulaire), voies de signalisation,
modification possible du code génétique, définition de marqueurs de surface spécifiques de la cellule maligne et enfin mécanismes de la réponse immune vis a vis de cette cellule.
La preuve de concept de l’arrêt des ITK date de 2007, grâce à l’étude pilote STIM, et a été confirmée en 2010 par les essais STIM et Twister. Les essais en cours concernent les études des ITK de
nouvelle génération et l’optimisation des conditions d’arrêt des traitements. L’étude A-STIM a permis de conclure que 60% des patients, 7 ans après l’arrêt de traitement, ne présentaient pas de
rechute. Dans d’autres cas, la rechute était évidente très tôt après l’arrêt, nécessitant une reprise du traitement et enfin une remontée du transcrit majeur pouvait être observée par pics
successifs et nécessitait une surveillance accrue des patients. Dans ces derniers cas, la remonté/redescente du pourcentage de transcrits est interprétée comme un contrôle de la maladie par le
système immunitaire et c’est dans ce cadre que Delphine Réa a étudié le rôle des cellules NK après l’arrêt de l’Imatinib. De façon simple, la cellule NK est capable de reconnaître une autre
cellule et si cette cellule est jugée anormale, la cellule NK est capable de la tuer. Dans cette étude le nombre et la fonction « tueuse » de sous-populations de cellules NK ont été analysés. Les
résultats indiquent que le nombre de cellules NK est diminué chez les patients en rechute et que la fonction «tueuse» des NK est altérée. Ces résultats, qui vont être complétés par l’étude
d’autres compartiments lymphocytaire (NKT, T), ouvrent la porte à de nouvelles voies de recherches basées sur l’immunothérapie, c’est à dire comment stimuler le système immunitaire des patients
après l’arrêt des traitements.
Le Dr. Marie-Joelle Mozziconacci (Laboratoire Cytogénétique et Biologie Moléculaire, IPC, CRCM, Marseille) a rappelé que la LMC est une maladie hématologique proliférative,
originaire de la moelle osseuse et dont les cellules malignes passent dans le sang.
Le diagnostic de la LMC nécessite :
- la numération / formule sur prélèvement de sang. En général le nombre de basophiles est augmenté au cours de la LMC.
- le myélogramme sur prélèvement de moelle osseuse. La LMC est un syndrome myéloprolifératif, c’est à dire que le nombre de cellules granulocytaires est très augmenté dans la moelle osseuse, ce
qui se traduit par un passage de ces précurseurs granulocytaires dans le sang (myélémie).
- le caryotype sur prélèvement de moelle osseuse. L’analyse des chromosomes permet de déterminer que les chromosomes 9 et 22 sont recombinés dans les cellules cancéreuses (un bout du chromosome
22 est coupé et vient s’ajouter au chromosome 9) formant le chromosome dit de «Philadelphie». Cette recombinaison anormale juxtapose les gènes BCR et ABL, qui sont transcrit sous forme d’un ARN
messager BCR-ABL, donnant naissance à la protéine BCR-ABL dont l’activité «tyrosine kinase» est responsable de cette leucémie.
- la biologie moléculaire sur prélèvement de sang. Cette technique d’amplification quantitative (RQ-PCR) des transcrits BCR-ABL est extrêmement sensible et permet de détecter les cellules
anormales qui sont passées dans le sang. Les transcrits anormaux sont quantifiés grâce à une gamme de transcrits connus et en tenant compte de la qualité des transcrits produits (amplification
simultanée des transcrits BCR-ABL et de transcrits contrôles). Les résultats sont donnés en % de transcrits BCR-ABL par rapport aux transcrits contrôles. Cette technique est pratiquée par un
petit nombre de centres accrédités par le Cofrac.
Le laboratoire Européen LeukemiaNet établit des recommandations et la standardisation des techniques de PCR (International Scale), ce qui garanti les résultats d’un laboratoire à l’autre et d’un
pays à l’autre. Il délivre aussi des informations aux médecins, aux patients, il indique les essais cliniques en cours et définit les cibles à atteindre :
- réponse hématologique : globules blancs inférieur à 10g/L, pas de myélémie, basophiles inférieur à 5, plaquettes inférieures à 450.
- réponse cytogénétique, définie par le % de cellules présentant la translocation t(9;22) : 1-35% >> réponse majeure, 66-95% >> réponse mineure, 95% absence de réponse.
- réponse moléculaire, définie par le % de transcrits anormaux : inférieur ou égal à 0.1% >> réponse majeure niveau 3 ou RM3, inférieur ou égal à 0.01% >> réponse profonde niveau 4 ou
RM4 (possibilité d’arrêt du traitement), inférieur ou égal à 0.0032 % >> réponse profonde niveau 4-5 ou RM4-5, inférieur ou égal à 0.001% >> réponse profonde niveau 5 ou
RM5.
La réponse est optimale :
- si à 3 mois de traitement, moins de 35% des cellules présentent la translocation et si moins de 10% de transcrits anormaux sont détectés,
- et si à 6 mois, 0% des cellules portent la translocation et si moins de 1% de transcrits anormaux sont détectés.
Il existe plusieurs types de répondeurs: très rapides, lents ou par à-coups.
Si les valeurs obtenues se trouvent entre une réponse optimale et un échec avéré, une grande vigilance doit être exercée avec des examens biologiques rapprochés.
Le Pr. Dominique Maraninchi (Professeur de cancérologie, IPC, Marseille) a basé son exposé sur l’ouverture faite aux patients de déclarer eux même les effets indésirables des
traitements, déclaration qui était surtout à initiative des industriels et des médecins.
Il a tout d’abord évoqué le coût des traitements, qui a doublé en 10 ans et propose un débat citoyen relayé par le Net sur cette problématique (possibilité de générique, prix à la baisse par les
industriels, transparence, accès aux soins pour tous, participation de tous aux débats et aux décisions...). A titre d’exemple le Pr. Maraninchi a indiqué qu’à l’IPC en 2015, 28 molécules étaient
utilisées dans 10 maladies différentes.
Les effets indésirables doivent être déclarés auprès du CRPV (Centre Régional de PharmacoVigilance) par le médecin, le pharmacien, les professionnels de santé, les associations de malades, et ce
dès l’apparition du moindre signe d’effet secondaire. Les effets indésirables de la chimiothérapie sont inéluctables mais la situation a évoluée : la chronicité est prise en charge en ambulatoire
et certains médicaments sont mis sur le marché rapidement, sans trop de recul. Il faut donc impliquer les patients (partenariat pro-actif patients/corps médical) dans la déclaration des effets
secondaires et faire de l’information préventive.
3ème Partie
Yolande Arnault (Psychologue Clinicienne, IPC, Marseille)
Maintenant que la LMC est devenue une maladie chronique, se posent les problèmes liés à la qualité de vie des patients et aux conséquences psychologiques de cette maladie.
Afin d’aider le patient et son entourage, l’IPC a créé un fascicule qui indique des approches complémentaires aux soins qui sont non médicamenteuses. Yolande Arnault a indiqué que 80% des
patients utilisent ses offres complémentaires et que ces méthodes réduisent significativement la prise de médicaments anxiolytiques.
Yolande Arnault a présenté :
- la Résonance Energétique par Stimulation Cutanée ou RESC qui est une écoute cutanée par touchés corporels entre deux points d’acupuncture mis en résonance.
- la psychomotricité, ou comment habiter son corps, le connaître, s’en servir, le maîtriser.
- la méditation pleine conscience ou comment être pleinement conscient de l’instant et de ses sensations en favorisant des pensées positives.
- l’hypnose ou état de conscience modifiée, suggéré par le thérapeute. L’hypnose clinique est très efficace pour soulager, pour mieux appréhender le traitement, pour une aide au sommeil…
Tristan Berthier (Ostéopathe, Aix en Provence) a présenté l’approche de l’ostéopathie qui correspond à des manipulations manuelles du système musculo-squelettique et myo-fascial qui permettent de soulager certains troubles fonctionnels. L’ostéopathe se centre sur l’anatomie de la personne et non sur la maladie. C’est une approche efficace pour traiter des troubles fonctionnels ou organiques mineurs. Cette approche soulage la douleur, la fatigue, la raideur musculaire. Elle permet de rééquilibrer, de relancer les grandes fonctions physiologiques, elle favorise la relaxation et diminue l’impact des effets secondaires des traitements.
Michèle Fernandez-Henocque (Art-Thérapeute, Marseille).
L’art-thérapie est une méthode visant à utiliser le potentiel d'expression artistique et la créativité d'une personne à des fins psychothérapeutiques ou de développement personnel. Il s’agit de
mettre la personne en situation de créativité (musique, théâtre, danse….). Cette méthode s’adresse à des personnes en souffrance physiologique, psychologique ou des deux. Elle permet de mettre à
distance la souffrance et de redevenir actif de son histoire.
Dr. Stéphanie Ranque-Garnier (Centre d’évaluation et traitement de la douleur, CHU Timone, Marseille).
Cette médecin du sport s’intéresse à la relation sport et cancer. Elle propose une activité physique qui s’adapte à chacun et qui permet de vainque en particulier la fatigue. Le Met-heure
(Metabolic Equivalent Task, soit « tâche métabolique équivalente ») par heure permet de mesurer la dépense énergétique fournie pour réaliser une activité. L’activité physique est un cercle
vertueux (activité >> maintien de la masse musculaire >> maintien de l’autonomie >> contrôle de la douleur, du sommeil, de l’humeur et du poids >> réinsertion sociale
>> activité physique).
En prévention primaire, une activité de 150 minutes par semaine (3-4 fois 20-30 minutes) est préconisée. Elle diminue de 40% la survenue du cancer du colon, de 50% la survenue de cancers solides
et de 50% les récidives du cancer de la prostate. Elle améliore la qualité de la vie, la survie et diminue la récidive.
L’activité physique doit être l’affaire de tous (comme se brosser les dents) et dans certains cas pourrait être prescrite sur ordonnance.
Les Trophées LMC France
La conférence se termine par la remise des Trophées LMC France qui récompensent des patients ou proches de patients qui ont entrepris des actions remarquables.
Les Trophées LMC France sont remis en présence de Norbert Nabet, Directeur Adjoint de l'Agence Régionale de Santé Paca (ARS).
Avec de gauche à droite : Claude Gillet, Jérôme Aviotte, Mina Daban - Présidente LMC France, Dr. Aude Charbonnier - Hématologue, Norbert Nabet - Directeur Adjoint ARS, Myriam Rebreyend et Guillaume Chartagnat
Découvrez les photos de la conférence LMC France qui s'est tenue à l'occasion de la Journée Mondiale de la Leucémie Myéloïde Chronique de Septembre 2015 !
Un grand merci encore à tous nos experts, bénévoles et au public venus souvent de très loin pour cet évènement LMC France.
Cliquez pour agrandir :)
Découvrez les différentes interventions en vidéos de la conférence LMC France qui s'est tenue à l'occasion de la Journée Mondiale de la Leucémie Myéloïde Chronique de Septembre 2015 !
Un grand merci encore à tous nos experts, bénévoles et au public venus souvent de très loin pour cet évènement LMC France.
Vous pouvez vivre ou revivre cette conférence en visionnant les interventions des différents orateurs de cette belle journée ci-dessous :
Visionnez les vidéos en plein écran en cliquant sur le rectangle en bas à droite ;)
Retrouvez ici un Compte rendu, des Photos et Vidéos de cette journée.