Dans 40 % des cas, la découverte de la maladie se fait de manière fortuite, à l’occasion d’un examen sanguin de routine.
Dans les autres cas, ce sont des indices comme une intense fatigue et une augmentation du volume de la rate (splénomégalie) qui vont conduire à la réalisation d’un examen sanguin et faire suspecter la LMC.
Le diagnostic est alors confirmé par une analyse du sang et de la moelle (myélogramme) avec mise en évidence du chromosome de Philadelphie et du gène bcr-abl.
En l’absence de traitement adapté, La LMC évolue naturellement en trois phases :
Aujourd'hui, des traitements efficaces existent afin de maintenir la LMC dans sa
phase chronique ; il s'agit de thérapies ciblées : les inhibiteurs de tyrosine kinase ou " ITK
").